Avant la Web@cadémie, j’étais déscolarisé. J’ai arrêté mes études en terminale. Le système scolaire classique ne m’a jamais satisfait. Les cours classiques ne m’offraient pas de possibilité de challenge. Je m’ennuyais énormément. Après le lycée, j’ai entamé des recherches sur toutes les orientations possibles, en espérant trouver une vocation, un déclic.
J’ai découvert la Web@cadémie par le biais d’articles de presse qui parlaient de formations en développement web accessibles sans conditions, mis à part celle de tout donner pendant deux ans, basées sur une pédagogie par projets. Cela m’a tout de suite intéressé. J’ai donc suivi le processus de recrutement et aujourd’hui la Web@cadémie m’offre une chance de construire pas à pas cette nouvelle vocation.
La Piscine c’est la période qui donne le ton. On travaille beaucoup, vraiment beaucoup. C’est intense. Pour être honnête, je ne me doutais vraiment pas de la difficulté de celle-ci, ni de la fatigue qu’on pouvait accumuler, mais je ne me doutais pas non plus de son efficacité.
C’est une expérience folle, pleine d’émotion, et absolument indispensable. On apprend à une vitesse telle qu’on se surprend soi-même une fois qu’on en est sorti. C’est aussi à ce moment-là qu’on se fait des amis pour au moins deux ans, une fois tous dans le même bateau avec les mêmes ambitions, on tisse des liens.
Trois semaines complètement plongé dans le code, tous cela dans une ambiance incroyable, je n’oublierai jamais, et je pense que c’est le cas pour toute ma promotion.
Depuis le début de ma formation, j’ai pu réaliser tout un tas de projets intéressants seul ou en groupe, comme un clone de Twitter réalisé par équipes de quatre en deux semaines. C’était un projet très complexe, et très formateur, tant pour la technique que pour l’organisation. C’est d’ailleurs souvent plus ardu de s’organiser que de coder.
On travaille sur plein de techno diverses et variées. Par exemple en ce moment nous travaillons sur une appli mobile, un Snapchat like à deux. Nous avons une semaine pour se faire à cette toute nouvelle facette de notre futur métier. C’est court mais ça nous pousse à apprendre toujours plus vite et à être complètement autonomes pour se former sur de nouveaux outils.